La Cour d’Appel d’Aix-en-Provence a jugé une affaire de harcèlement sexuel au travail.
Un salarié accusé de comportements déplacés a tenté de se défendre en invoquant le mouvement #Metoo, affirmant être victime d’un complot et de propagande calomnieuse.
Le salarié en question était accusé de propos déplacés, de tentatives de baisers volés et d’avances non désirées.
Une enquête interne menée par l’employeur a recueilli de nombreux témoignages précis et concordants, confirmant les agissements du salarié mis en cause. La cour a rejeté l’argument du complot, soulignant la cohérence des témoignages recueillis.
📚 La cour d’appel a conclu que les faits de harcèlement sexuel justifiaient un licenciement pour faute grave, privant ainsi le salarié d’indemnités.
Cette décision rappelle l’importance de prendre au sérieux les accusations de harcèlement et de mener des enquêtes précises et rigoureuses.
CA Aix-en-Provence 19-4-2024 n° 21/02932 #DroitSocial #HarcèlementAuTravail #Justice